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Revue de presse : opération #FreePussyRiot lors des #JDE #EELV

Cécile Duflot défend les Pussy Riot lors des Journées d'été EELV

PUSSY RIOT - Près d'une semaine après sa condamnation à deux ans de camp, le groupe de musique punk des Pussy Riot fait encore parler. Chaque jour, de nouvelles personnalités publiques et célébrités montent au créneau pour dénoncer leur condamnation. Madonna, Garry Kasparov (qui risque maintenant cinq ans de prison)... et maintenant Cécile Duflot.La ministre du Logement a affiché son soutien aux trois chanteuses russes en se faisant photographier avec une cagoule aux Journées d'été des écologistes, qui se tiennent à Poitiers jusqu'au vendredi 24 août.

Pendant ces Journées d'été, EELV incite les militants à enfiler la cagoule, symbole de soutien au groupe punk emprisonné et se faire photographier. "Nous fournissons les cagoules et nous occupons de la diffusion des images sur le net", écrit ainsi le parti, qui a publié un Tumblr pour l'occasion.

Le député européen Yves Cochet s'est aussi prêté volontiers à l'exercice.

Article paru sur le Huffington Post


Cécile Duflot en a sous la cagoule

La ministre écologiste milite en faveur de la libération des Pussy Riot

Présente à Poitiers pour les journées d’été des écologistes, Cécile Duflot comme tous ses camarades, a accepté de revêtir la cagoule symbolique en faveur des Pussy Riot.

Définitivement, Cécile Duflot ne rentre pas dans le cadre. Après « l’affaire de sa jupe» portée à l’Assemblée qui a donné du grain à moudre à ces messieurs de la classe politique, la jeune ministre de l’Ecologie va une nouvelle fois faire parler d’elle. A Poitiers, Cécile Duflot a retrouvé ses amis des Verts et s’est laissée aller à un exercice engagé mais peu conventionnel. Le parti Europe écologie-Les Verts a demandé à tous ses militants et ses cadres de revêtir une cagoule, ornée du mot «free» (libre), et de prendre la pose tout en tenant une pancarte demandant la libération des Pussy Riot.

Cécile Duflot a accepté de s’encagouler pour cette bonne cause et ses clichés se retrouvent aujourd’hui sur le blog du parti écologiste. Le groupe russe condamné à deux ans de camp pour avoir chanté une prière punk anti-Poutine, reçoit le soutien de centaines d’artistes et de personnalités à travers le monde. Même si le bout de tissu que porte la ministre de l’Ecologie sur la tête fait vibrer l’alarme du fashion faux pas, les expertes passent l’éponge, pour la bonne cause. Cécile Duflot parvient d’ailleurs à contrebalancer ce drame de mode en arborant une très estivale robe bleue à pois blancs, classique mais qui fait toujours son effet.

Si la jeune femme a eu le droit à une cagoule plutôt discrète, son confrère des Verts, Yves Cochet a testé un autre style. Pour les Pussy Riot, le député européen a opté pour un bout de fausse fourrure de tigre, jaune et violette… Jean-Vincent Placé, président du groupe écologique au Sénat a, de son côté, opté pour un modèle tout en délicatesse: une cagoule fabriquée à l’aide d’un collant fin. Respect à ces écologistes engagés... le coton de ces cagoules est-il écologique?

Article paru sur le site de Gala


Duflot enfile une cagoule pour soutenir les Pussy Riot

La ministre du Logement s'est prêtée au jeu de la photo cagoulée en signe de soutien aux musiciennes russes, condamnées à deux ans de camp pour une «prière punk» dans une église.

Cécile Duflot a été photographiée jeudi, lors des Journées d'été d'Europe Écologie-Les Verts à Poitiers, portant une cagoule pour soutenir les Pussy Riot. Le groupe de musique russe a été condamné à deux ans de camp pour avoir interprété une «prière anti-Poutine» dans une église.

Des militants d'EELV baptisés Ecologeeks sont à l'origine de cette campagne de mobilisation. «Venez vous faire photographier pendant les Journées d'été sur le stand des Ecologeeks en soutien aux Pussy Riot. Nous fournissons les cagoules et nous occupons de la diffusion des images sur le Net», indique leur site internet. Un appel entendu aussi par d'autres personnalités, à l'image du député européen Yves Cochet.

La cagoule est devenue le symbole du soutien au groupe punk: elles-mêmes en arboraient lorsqu'elles ont interprété la «prière anti-Poutine». Dans tous les rassemblements organisés pour les défendre, les manifestants en portaient une.

Article paru sur le site du Figaro


Pussy Riot: Cécile Duflot et Garry Kasparov apportent leur soutien, le Conseil présidentiel des droits humains s’interroge

Alors que les avocats de Nadézhda Tolokonnikova, Maria Alekhina et Ekaterina Samoussevitch, les 3 jeunes femmes condamnées à 2 ans de camp (lire Pussy Riot: les trois membres du collectif condamnées à deux ans de prison), s'apprêtent à faire appel de la décision, le Conseil présidentiel des droits humains russe a publié, ce vendredi 24 août, un communiqué de presse dans lequel il s'étonne de la sévérité de la peine et met en lumière plusieurs interrogations sur le procès lui-même.

«Par exemple, pourquoi les défenderesses ont-elles dû rester menottées pendant plusieurs heures à la lecture du jugement? Pourquoi ont-elles toutes été condamnées à la même peine alors que 2 d'entre elles ont des enfants en bas âge?», peut-on y lire, selon l'agence Interfax.

«Pourquoi la peine est-elle à ce point plus sévère que les peines pour blasphème selon les lois de l'Empire russe?, poursuit le document. Et pourquoi faut-il attendre que la Cour européenne des droits de l'Homme réponde à toutes ces questions? D'autant que l'on connaît très bien les réponses. (…) Nous sommes convaincus que la société civile a le droit d'exiger que la vérité et l'indulgence prévalent dans le système pénal russe.»

Tandis que les autres membres du collectif féministo-punk Pussy Riot sont recherchées pour être jugées à leur tour, les manifestations de soutien se poursuivent.

À la veille de l'ouverture de leurs Journées d'été, qui se terminent aujourd'hui à Poitiers, des militant-e-s d'EELV, les Écologeeks, ont lancé un tumblr #freePussyRiot et proposent à leurs camarades de poser avec une cagoule (symbole des Pussy Riot), puis le visage découvert, avec une ardoise sur laquelle est écrite la phrase «Free Pussy Riot» («Libérez Pussy Riot»).

Parmi les participant-e-s à l'action, la ministre du Logement Cécile Duflot, le député européen Yves Cochet ou le président du groupe parlementaire écologiste au Sénat et sénateur de l'Essonne Jean-Vincent Placé.

Cecile Duflot Free Pussy Riot

De son côté, dans The Moscow Times, Garry Kasparov, ancien champion du monde d'échecs, président-fondateur du Front civique unifié, opposant notoire de Vladimir Poutine, raconte son arrestation alors qu'il discutait avec des journalistes devant le tribunal bondé où se tenait le procès des Pussy Riot (vidéo ci-dessous). Accusé d'avoir mordu un policier, il risque à son tour 5 ans de camp. Il prépare sa riposte avec 2 plaintes, l'une pour agression et arrestation illégale, l'autre pour diffamation envers l'officier qu'il est censé avoir blessé, ce qu'il réfute.

À signer, toujours, les pétitions d'AllOut et d'Avaaz.

Article original paru sur Yagg.com


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1 commentaire(s)

  1. […] que Cécile Duflot, avec ou sans muselière, a enfilé une cagoule à paillettes pour défendre les pussy riot et que ça pour le coup c’était assez Rock’n'Roll! Crédit: […]

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